🙏 Salle comble pour la rencontre animéé avec brio par Gérard Ampeau, sans concessions, où toutes les questions ont été abordées : quel est l'état des lieux de l'analyse ESG en France aujourd'hui ? L'affaire Orpéa, quelles conséquences pour l'analyse du risque ESG des entreprises ? La qualité des données, comment suivez-vous les controverses ? Quel est le juste prix d'une analyse ESG ? Qui doit payer (investisseurs ou émetteurs)? La régulation européenne sur les agences et la guerre de lobbying entre l'Europe et les Etats-Unis, ...
Merci à Eric Dubos (MACSF) et Sophie Elkrief (ex Aésio Mutuelle) d'avoir défendu les intérêts des investisseurs en apportant des arguments qui aident à améliorer les pratiques des agences de notation dignement représentées hier par Emmanuel de la Ville (Ethifinance) et Charles-Henry Aulagner (Scope Ratings).
Pour clore cet échange riche, d'une heure environ, Khiplace a proposé à ses membres de participer à un sondage en live dont vous trouverez les résultats ci dessous :
1. Que faut-il faire pour éviter un nouveau scandale type Orpéa pour les investisseurs?
Pour un peu plus de 70% des répondants présents hier, il faut plus d'analystes ESG sur le terrain, plus de surveillance des controverses et de dialogue avec les entreprises. Seuls 14% pensent qu'il faut plus d'encadrement réglementaire des agences de notation.
2. Les investisseurs doivent-ils développer en interne leur propre système de notation extra-financière?
Oui : 54%
Non : 36%
NSP : 10%
3. Faites-vous encore confiance aux analyses extra-financières des agences?
Oui : 29%
Non : 54%
NSP : 17%
4. Le coût des données extra-financières est-il devenu prohibitif pour les investisseurs?
Oui : 39%
Non : 46%
NSP : 15%
5. Faut-il mutualiser le coût de la recherche extra-financière ?
Oui : 61%
Non : 21%
NSP : 18%
6. Les méthodologies des agences sont-elles suffisamment transparentes?
Oui : 18%
Non : 68%
NSP : 14%
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